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« Mondes réels / Mondes imaginés : une correspondance » 

Les membres de la revue Filigranes animeront un atelier d’écriture autour du thème « Mondes réels / Mondes imaginés : une correspondance »

Où ? À Manosque – Centre Carzou, 7-9 bd Elémir Bourges

Quand ? Samedi 28 septembre 2024 de 11h à 12h ou de 14h30 à 15h30

Comment ? Gratuit – Places limitées sur réservation au 04 92 87 40 49

 


Week-end d’écriture avec Ada Mondès

Samedi 19 et dimanche 20 octobre de 9h30 à 17h30, Ada Mondès nous propose un stage sur un week-end, un « laboratoire Corps-poème » qui s’adresse à quiconque souhaite prendre le temps d’être avec soi, d’écouter et de sentir, de laisser monter les images, les émotions et, peut-être, d’en écrire un peu. Il s’agit donc d’un laboratoire d’exploration de notre rapport à l’écriture quel qu’il soit, ouvert à toute personne curieuse d’explorer sa relation aux mots, à soi et aux autres. Une mise en mouvement qui passe par le corps et la voix. Double mouvement d’introspection et d’élan vers…

Renseignements et réservation : ada.mondes@outlook.fr ou Albertine Benedetto : 06 30 93 97 50


Centre Ressources Illettrisme

Le Centre Ressources Illettrisme et Analphabétisme de la région Provence Alpes-Côte d’Azur organise la journée régionale illettrisme le mardi 12 novembre de 9h à 17h.

Retrouvez tous les renseignements et les autres formations proposées par le CRIA en visitant leur site.


2024 – mars / Var-Matin


La force de la gravité

.L’association LIBER LIBRA accueille le vendredi 18 novembre à 20h un spectacle de la Compagnie La Rocket « la force de la gravité ».

Une pièce montée pour une comédienne et neuf personnages en chute libre.

Avec : Michelle Cajolet-Couture de la Cie La Rocket.

Un spectacle d’1h10 pour tous à partir de 9 ans.


L’écrivain public, une série web

Saison 1

Mathieu devient écrivain public dans un quartier populaire de Montréal. Alors que nous « textons », « facebookons » et écrivons au son, qui sait encore trouver «les mots pour écrire»? 

9 épisodes.

Saison 2

Toujours écrivain public dans le centre communautaire, Mathieu découvre que son rôle est bien plus humain que littéraire : il écoute les maux et trouve des mots pour consoler ses clients.

5 épisodes.

Saison 3

Ressentant le besoin de raconter son expérience, Mathhieu écrit un premier roman inspiré de son travail d’écrivain public. La publication dérange son employeur qui le renvoie sur-le-champ.

5 épisodes.

Distribution

Inspirée du roman L’écrivain public écrit par Michel Duchesne (qui signe également l’adaptation), la série est réalisée par Hervé Baillargeon (saison 1) et réalisée et coécrite par Eric Piccoli (saisons 2 et 3). Elle met en vedette Emmanuel Schwartz dans le rôle principal aux côtés notamment de Sandrine Bisson, Eve Duranceau, Luc Senay, Louise Bombardier, Johanne Fontaine, Denis Houle, Ariane Castellanos, Simone Marchand, Pierre-Luc Lafontaine et Jean-Nicolas Verreault, Raphaël Lacaille, Lily Thibeault et Catherine St-Laurent.

Production

Babel fils – TV5 Unis

Extrait de l’article paru dans LA PRESSE 25 août 2020

TV5 est la seule télé qui a voulu prendre le risque de financer un projet dont les thèmes – pauvreté et analphabétisme – n’avaient rien de sexy même s’ils étaient douloureusement d’actualité. En contrepartie, les budgets alloués aux neuf épisodes de huit minutes chacun étaient aussi pauvres que les personnages de la série. La série a, malgré tout, remporté un succès d’estime et une myriade de prix : un Gémeaux, un Numix, le prix spécial des droits de l’homme de Bilbao, le Coup de coeur de Liège et un prix à Marseille pour l’émouvante interprétation d’Emmanuel Schwartz dans le rôle de Mathieu Martineau, l’écrivain public, qui s’est mis en tête de sauver le pauvre monde, une lettre à la fois.

«Cette série, c’est avant tout un hommage aux gens du communautaire qui sont payés des salaires de misère pour s’occuper des plus poqués de la société et qui sont eux-mêmes condamnés à vivre dans une extrême précarité sans jamais savoir si leur subvention sera reconduite d’une année à l’autre», s’indigne Michel Duchesne, qui croit que tous les artistes devraient, à un moment ou l’autre de leur vie, sortir de leur zone de confort et aller voir comment ça se passe vraiment dans le communautaire, mais aussi dans les hôpitaux et les écoles, histoire de se connecter aux vraies réalités de leur société.

«Il y a des listes d’attente partout, y compris pour les centres de femmes battues, ce qui est aussi inacceptable qu’absurde. Les gens sont abandonnés à eux-mêmes. Comme artiste et comme citoyen, ça change ta perspective de prendre conscience de ces injustices-là.»

NATHALIE PETROWSKI